Pétanque 28.02.2025
Une partie de pétanque au Boulodrome de la Queue-d’Arve à Carouge
Vendredi 28 février 2025, le matin. Une dizaine de gymnastes se retrouvent à 9h30 au restaurant Drizia-Miremont pour un café-croissants. Les croissants sont offerts par le patron, un ami d’Alain. C’est d’ailleurs Alain qui a organisé cette matinée. Il en sera chaleureusement remercié à la fin de ce moment paisible et magnifique. Le temps est radieux mais le fond de l’air est froid.
L’ambiance est bon enfant, comme d’habitude. Louis-Jean n’est pas là. A-t-il oublié ? On réalise après coup qu’il a la grippe. Christian et Claude Gylser nous rejoindront pour le repas. Le café bu, et les croissants consommés, les boulistes d’un jour se mettent en marche pour le boulodrome de Carouge, qui est juste après le pont de l’Arve sur la route de Vessy. Chacun à son rythme. Certains ont leurs boules, d’autre n’en ont pas. Alain en a amené une valise pleine. C’est lourd, une boule.
Arrivée au boulodrome. Après avoir parcouru quelques couloirs, on se trouve dans le boulodrome proprement dit. L’espace est impressionnant. A la louche, cette salle correspond à un cube de 20 mètres de côté et 10 – à 12 mètres de hauteur. Charpente puissante d’un seul tenant, couvrant l’ensemble des terrains. On s’y sent petit mais en même temps bien à l’abri. Son usage est gratuit.
Le maître des lieux, aujourd’hui, c’est Alain. Bouliste confirmé, il fréquente le lieu régulièrement. La pétanque n’a pas de secret pour lui. Nous sommes dix en tout, ce qui complique un petit peu la formation des équipes. A douze cela aurait été facile : quatre équipes de trois, chaque joueur a deux boules et basta. Mais nous ne sommes que 10. Qu’à cela ne tienne. Il y aura deux équipes de deux joueurs qui auront trois boules chacun.
Que le jeu commence ! Pour mémoire, le but est de placer les boules au plus près du cochonnet (« le petit »). L’atmosphère est sérieuse. Pas si simple que cela, la pétanque. Avant de tirer, il faut décider d’une stratégie. Ejecter la boule de l’adversaire, si possible sans déplacer celles de l’équipe ? Ou alors, simplement tenter le meilleur placement ? Et quelles sont les conséquences ? Et puis dans tous les cas, il faut avoir le meilleur geste possible. Et là, c’est vraiment technique.
Des exclamations fusent de temps en temps, mais dans l’ensemble, c’est calme. Quelques conversations de ci de là. La concentration des joueurs est maximale au moment de tirer, surtout quand le petit est assez loin. C’est passionnant une partie de boules ! On entend parfois le choc d’une boule sur une autre, en espérant que la boule éjectée est la bonne. Quelques chaises permettent à l’un ou l’autre de s’assoir. A nos âges plus ou moins avancés, il n’y pas de mal à se reposer.
A 11 heures, c’est l’heure de l’apéro. Eh oui, Alain a tout prévu. Même quelques petites choses à grignoter. Santé tout le monde, quel plaisir d’être là avec vous ! Une dernière partie et, vers 12h30, l’équipe retourne au Drizia pour le repas. Aujourd’hui, c’est filets de perches pour tout le monde. Arrosés comme il se doit. Les filets sont délicieux, les frites excellentes, la salade aussi et l’accueil est vraiment top. Christian, comme indiqué, nous a rejoint (ouais …debleu debleu……). Claude itou.
Vers 15h00, chacun retourne chez soi, se disant probablement une fois de plus que ces sorties de l’Amicale font vraiment du bien. Un chaleureux merci à Alain pour avoir si bien préparé cette belle journée.
Antoine